À la tête du collège Georges Brassens depuis cette rentrée, Madame Géraldine Peyronneaud arrive forte d’une longue expérience au sein de l’Éducation nationale, qu’elle a intégrée en 1988.

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Un parcours riche et engagé

Elle débute sa carrière comme surveillante à Vitry, avant d’enseigner l’Histoire-Géographie pendant quatre ans dans différents établissements du Val-de-Marne. Elle devient ensuite Conseillère Principale d’Éducation (CPE) durant sept années, une fonction qui lui permet d’approfondir sa connaissance de la vie scolaire.

Depuis vingt-cinq ans, elle exerce avec conviction le métier de cheffe d’établissement, toujours en collège et toujours dans le Val-de-Marne, un choix assumé. Vitry, Villeneuve-le-Roi, Chevilly-Larue et Charenton ont marqué son parcours professionnel. Parallèlement, entre 1994 et 2008, elle a été conférencière, nourrissant sa passion pour l’histoire et le Proche-Orient.

Brassens, un cadre privilégié

Ce qui l’a attirée vers le collège Brassens ? « Des amis et collègues m’en ont parlé avec enthousiasme, décrivant un collège à taille humaine, dans un bel environnement », confie-t-elle. Ses premières impressions confirment ces avis : elle découvre un établissement agréable, doté d’équipes professionnelles, investies et bienveillantes, ainsi que d’élèves respectueux et fiers de leur collège.

Priorités et ambitions

Pour cette première année, sa priorité est de préserver l’énergie positive qui émane de l’établissement. Elle insiste sur la nécessité d’une communication fluide et respectueuse entre tous les acteurs qui constituent la communauté éducative dans son ensemble. Soucieuse de renforcer le lien entre élèves, familles et équipe éducative, elle souhaite encourager des temps d’échanges plus personnels : tutorat, ateliers thématiques, moments conviviaux, voire un café des parents.


Très attachée à la culture, elle voit en l’Île-de-France un formidable levier pour ouvrir les élèves au monde, aux arts, au sport et à la citoyenneté. Elle espère que le collège sera perçu comme un lieu d’émancipation où les jeunes deviennent progressivement des « citoyens éclairés », accompagnés par une communauté éducative soudée.